Heures du soir: livre des femmes, Volume 3

Front Cover
U. Canel, 1833 - French fiction

From inside the book

Selected pages

Contents

Common terms and phrases

Popular passages

Page 266 - Heaven is my judge, not I for love and duty, But seeming so, for my peculiar end : For when my outward action doth demonstrate The native act and figure of my heart In compliment extern, 'tis not long after But I will wear my heart upon my sleeve For daws to peck at : I am not what I am.
Page 263 - But I have lived, and have not lived in vain : My mind may lose its force, my blood its fire, And my frame perish even in conquering pain ; But there is that within me which shall tire Torture and Time, and breathe when I expire ; Something unearthly, which they deem not of, Like the remembered tone of a mute lyre, Shall on their softened spirits sink, and move In hearts all rocky now the late remorse of Love.
Page 269 - gainst self-slaughter! OGod! O God! How weary, stale, flat, and unprofitable, Seem to me all the uses of this world ! Fie on't...
Page 179 - Au travers de cet horizon jaunâtre, d'un jour pâle, sans ombre et sans vie, des milliers d'oiseaux fuyaient au-devant du nuage mortel et cherchaient vainement un abri.... L'orage arrivait...
Page 252 - Je vous parlerai aussi de moi ; quand vous m'aurez donné votre confiance je vous donnerai la mienne. Je vous dirai ce qui m'affecte; car, bien que ma destinée ait semblé brillante et enviable, je n'ai pas été sans souffrir.
Page 139 - Providence. Jamais il n'avait été besoin d'implorer sa pitié, et son âme ingénieuse devinait le malheur, en dissimulant des bienfaits qui eussent pu faire rougir celui qui les recevait. Telle fut la femme dont la mort fit verser tant de larmes ; telle était celle à qui don Celebès n'avait...
Page 54 - Et cette foule rieuse, parée, jouait, sans s'en rendre compte, un drame multiple, plus attachant pour le regard observateur que la fiction impatiemment attendue.
Page 257 - Je ne dirai pas combien d'angoisses, combien de larmes à ses pieds, de cris en son absence, et presque de blasphèmes. J'osai l'accuser lui-même ; il me semblait non-seulement cause, mais coupable en partie de ce que je souffrais, et le trouver reprochable m'était un désespoir.
Page 259 - Car je croirai que c'est une apparition merveilleuse, envoyée pour m'éprouver, plutôt qu'une frivole et mensongère beauté de ce monde, à la pitié double et rieuse, qui dédaigne et serre la main.
Page 55 - Le véritable spectacle est là sous ses mille formes: drame ou comédie, l'observateur peut choisir; le théâtre ne lui offrira rien de plus attachant à suivre.

Bibliographic information