Les essais de Michel de Montaigne: publiées d'après l'exemplaire de Bordeaux, avec les variantes manuscrites & les leçons des plus anciennes impressions, des notes, des notices et un lexique, Volume 4

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Imprimerie nouvelle F. Pech & cie, 1920 - French literature

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Popular passages

Page 426 - Rome bastarde qu'on aloit asteure atachant à ces masures antiques, quoi qu'ils eussent de quoi ravir en admiration nos siècles...
Page 131 - In pace nullus est communis magistratus, sed principes regionum atque pagorum inter suos jus dicunt, controversiasque minuunt.
Page 48 - Nec videt in vera nullum fore morte alium se Qui possit vivus sibi se lugere peremptum Stansque iacentem se lacerari urive dolere.
Page 369 - Car la raison efface les autres tristesses et douleurs ; mais elle engendre celle de la repentance, qui est plus griefve...
Page 217 - Guise, lorsque ces deux princes étaient à la cour; que ce dernier avait fait toutes les avances par ses soins, ses services, et par ses assiduités pour gagner l'amitié du roi de Navarre; mais qu'ayant reconnu qu'il le...
Page 461 - Ils ne se servent jamais d'eau à leur vin, et ont quasi* raison : car leurs vins sont si petits, que nos gentilshommes les trouvoint encore plus foibles que ceux de Guascongne fort baptisés, et si ne laissent pas d'estre bien délicats71. Ils font disner les valets à la table des maistres, ou à une autre voisine* quant et quant eus...
Page 217 - ... aujourd'hui si allumée; que la mort seule de l'un ou de l'autre pouvoit la faire finir; que le duc ni ceux de sa maison ne se croiroient jamais en sûreté tant que le roi de Navarre...
Page 132 - Cinéas : car il est tout manifeste, qu'avec si grosse puissance, nous pourrons facilement recouvrer le royaume de la Macédoine, et commander sans contradiction à toute la Grèce ; mais quand nous aurons tout en notre puissance, que ferons nous à la fin ? -Pyrrhus adonc se prenant à rire.
Page 217 - ... ne les touche ni l'un ni l'autre; la crainte d'être abandonné des protestants empêche seule le roi de Navarre de rentrer dans la religion de ses pères, et le duc ne s'éloignerait point de la confession d'Augsbourg, que son oncle Charles, cardinal de Lorraine, lui a fait goûter, s'il pouvait la suivre sans préjudicier à ses intérêts; que c'étaient là des sentiments qu'il avait reconnus dans ces princes, lorsqu'il se mêlait de leurs affaires.
Page 372 - Besançon : & me souvient que les gensd'eglise de la vile de Pontarli, ensemble les nobles, les bourgeois, et marchans, firent une congrégation et une assemblée, par procession, pour aler au-devant du Roy Jaques qui venoit en ladicte ville...

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