Œuvres de Lord Byron: Sur la mort de Lord Byron, par Sir Walter Scott. Don JuanChez Ladvocat, 1824 |
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... doute , il existé des médiocrités littéraires qui se proclament des géants parce qu'ils se promènent sur des échasses , mais on pourrait y découvrir de vrais talents qui ont malicieuse- ment abusé des critiques et des louangeurs par ...
... doute , il existé des médiocrités littéraires qui se proclament des géants parce qu'ils se promènent sur des échasses , mais on pourrait y découvrir de vrais talents qui ont malicieuse- ment abusé des critiques et des louangeurs par ...
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... doute : la Revue écossaise aura voulu faire une mauvaise plaisanterie ; si cela est , l'auteur peut se consoler en lisant , dans le même article , de plates injures adressées au nom de Châteaubriant . Ce serait dommage , en effet , que ...
... doute : la Revue écossaise aura voulu faire une mauvaise plaisanterie ; si cela est , l'auteur peut se consoler en lisant , dans le même article , de plates injures adressées au nom de Châteaubriant . Ce serait dommage , en effet , que ...
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... doute : la Revue écossaise aura voulu faire une mauvaise plaisanterie ; si cela est , l ' auteur peut se consoler en lisant , dans le même article , de plates injures adressées au nom de Châteaubriant . Ce serait dommage , en effet ...
... doute : la Revue écossaise aura voulu faire une mauvaise plaisanterie ; si cela est , l ' auteur peut se consoler en lisant , dans le même article , de plates injures adressées au nom de Châteaubriant . Ce serait dommage , en effet ...
Page xxxii
... la troisième doxy , sans doute lord Byron veut parler de celle de l'évêque Jocelyn , et je renvoie le lecteur au cha- pitre des évêques dans un autre ouvrage , Note de l'éditeur . 000 CHANT SIXIÈME . I. - « IL est un XXXII PRÉFACE .
... la troisième doxy , sans doute lord Byron veut parler de celle de l'évêque Jocelyn , et je renvoie le lecteur au cha- pitre des évêques dans un autre ouvrage , Note de l'éditeur . 000 CHANT SIXIÈME . I. - « IL est un XXXII PRÉFACE .
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... doute que tout est pour le mieux . - Le signe le plus certain en est à la fin . Quand les choses sont au pire , quelque- fois elles s'arrangent . II . Il est un flux et reflux dans les affaires des femmes , qui , si l'on en profite ...
... doute que tout est pour le mieux . - Le signe le plus certain en est à la fin . Quand les choses sont au pire , quelque- fois elles s'arrangent . II . Il est un flux et reflux dans les affaires des femmes , qui , si l'on en profite ...
Common terms and phrases
aimable aimait Allusion amour anglais assez Auld lang syne Aurore avaient Baba beau belle brillante BYRON.-Tome VII c'était calme Castlereagh Catherine CHANT charmes chaste chose cœur Cosaques dames Danube déja diable Dieu dire dis-je don Juan douce doute Dudù écossais espèce étrange eût femmes fille fût gens gloire grace guerre Gulleyaz hélas héros hommes Irlandais j'ai jamais jeune jeunesse John John Bull Johnson jolie jour Juanna jusqu'à Katinka l'amour l'homme lady Adeline laisse Lolah Londres lord Byron lord Henry Lucullus LVII LXII LXVII LXXXII mariage ment miss monde mont Athos mort muse n'avait n'était noble nuit odalisques parler passé passion pauvre pensée personne peuple peut-être plaisir poëme poète pouvait qu'un quelquefois reste Revue d'Édimbourg rien rime russe sage sais sang semblable semble sentiment serait seul Shakspeare sorte sourire stance sublime Suwarow tête triste trouver Turcs vérité visage voilà vrai XLII XLVII XXVII yeux
Popular passages
Page xiv - But I have lived, and have not lived in vain ; My mind may lose its force, my blood its fire, And my frame perish even in conquering pain ; But there is that within me which shall tire Torture and Time, and breathe when I expire...
Page 303 - XV. Calme, aimable, gai sans être bruyant ; insinuant sans insinuation ' ; observateur des faiblesses du monde, mais ne les trahissant jamais par ses discours ; fier avec les personnes fières, mais fier avec courtoisie, de manière à leur faire sentir qu'il connaissait son rang et le leur ; — ne disputant jamais la priorité, Juau ne souffrait ni ne réclamait la supériorité.
Page 139 - ... là-dessus Byron, à l'instant où il présente son don Juan à l'impératrice. « L'amour, ce grand ouvreur du cœur et de toutes les voies qui y conduisent de près ou de loin, par en haut ou par en bas, par les barrières à péage, petites ou grandes; — l'amour (bien qu'elle eût une maudite passion pour la guerre et ne fût pas la meilleure des épouses, à moins que nous ne donnions ce titre à Clytemnestre, et pourtant peut-être vaut-il mieux que l'un des époux meure que si tous deux...
Page xxxi - D'où vient notre délicatesse? c'est que plus les mœurs sont dépravées, plus les expressions deviennent mesurées. On croit regagner en paroles ce qu'on a perdu en vertu.
Page 234 - Redresser les torts , punir l'injustice, aider la femme timide, détruire le méchant, attaquer seul les forts réunis , délivrer du joug étranger les peuples qu'on opprime; hélas ! faut-il que les plus nobles desseins, comme une vieille légende, ne soient plus qu'un sujet poétique pour les jeux de l'imagination? une plaisanterie , une énigme , un rêve de gloire ? Et Socrate ne.
Page 120 - Montaigne, comme aussi celle des premiers académiciens ; un de leurs paradoxes favoris fut que tout ce que l'homme peut connaître est douteux. La certitude n'existe pas , c'est là encore un fait positif autant qu'aucune autre condition de l'humanité ; nous savons si peu ce que nous faisons en ce monde , que je doute que le doute lui-même soit un doute.
Page 10 - ... tête devant les yeux du sultan. Toutes, au signal accoutumé, avaient repris le chemin de leurs chambres, les longues galeries du harem, où les femmes livrent au repos leurs membres délicats, et où mille cœurs battent pour l'amour , comme l'oiseau en cage soupire pour l'air.
Page 233 - IX. De tous les romans c'est le plus triste , — et d'autant plus triste qu'il nous fait sourire. Son héros est homme de bien et ne cesse de chercher le bien ; — humilier les méchants est son seul objet, combattre les plus forts, sa récompense : c'est sa seule vertu qui le rend fou!
Page 122 - Je combattrai , en paroles du moins (et — si l'occasion s'en présentait, en action), ceux qui font la guerre à la pensée ; — des ennemis de la pensée, les plus cruels sont et ont été toujours les tyrans et leurs sycophantes. Je ne sais qui sortira vainqueur de cette lutte; si je possédais une telle prescience, elle ne détruirait en rien ma haine franche et déclarée de tout despotisme chez tous les peuples.
Page 282 - — prononcée par les amis, ces prophètes du passé, qui, au lieu de vous dire ce que vous devriez faire, vous répètent qu'ils ont prévu votre chute, et vous consolent de votre offense contre bonos mores avec un long mémorandum de vieilles histoires. LI. La calme sévérité de lady Adeline ne se borna pas...