| Denis Diderot - 1797 - 492 pages
...pressèrent d'abord, elles étoient humectées comme d'une mousse légère, puis sa bouche '"rtrouvrit , et elle me parut mourir en poussant un profond soupir. Je me levai brusquement , je crus qu'elle se trouvoit mal , je vou-lois sortir , appeller. Elle entr'ouvrit foiblement les yeux , et me dit d'une... | |
| Denis Diderot - French literature - 1821 - 568 pages
...peine , ou elle devint pâle comme la mort ; ses yeux se fermèrent, tout son corps se LA RELIGIEUSE. tendit avec violence , ses lèvres se pressèrent...humectées comme d'une mousse légère ; puis sa bouche s'entr'ouvrît , et elle me parut mourir en poussant un profond soupir. Je me levai brusquement; je... | |
| Denis Diderot - 1830 - 308 pages
...plaisir ou de peine , où elle devint pâle comme la mort; ses yeux se fermèrent, tout son corps se tendit avec violence ; ses lèvres se pressèrent...bouche s'entr'ouvrit , et elle me parut mourir en ponsf ant un profond soupir. Je me levai brusquement; je crus qu'elle se trouvait mal ; je voulais... | |
| Denis Diderot - 1831 - 274 pages
...plaisir ou de peine, où elle devint pâle comme la mort ; ses yeux se fermèrent, tout son corps se tendit avec violence, ses lèvres se pressèrent d'abord...humectées comme d'une mousse légère ; puis sa bouche s'entr' ouvrit, et elle me parut mourir en poussant un profond soupir. Je me levai brusquement; je... | |
| Denis Diderot - 1875 - 520 pages
...plaisir ou de peine, où elle devint pâle comme la mort; ses yeux se fermèrent, tout son corps se tendit avec violence, ses lèvres se pressèrent d'abord,...humectées comme d'une mousse légère; puis sa bouche s'en tr'ouvrit, et elle me parut mourir en poussant un profond soupir. Je me levai brusquement; je... | |
| Denis Diderot - 1880 - 268 pages
...plaisir ou de peine, où elle devint pâle comme la mort; ses yeux se fermèrent, tout son corps se tendit avec violence, ses lèvres se pressèrent d'abord,...humectées comme d'une mousse légère; puis sa bouche s'entr' ouvrit, et elle me parut mourir en poussant un profond soupir. Je me levai brusquement; je... | |
| Denis Diderot, Marie Angélique Diderot de Vandeul - French literature - 1901 - 516 pages
...plaisir ou de peine, où elle devint pâle comme la mort; ses yeux se fermèrent, tout son corps se tendit avec violence, ses lèvres se pressèrent d'abord, elles étaient humectées comme une mousse légère; puis sa bouche s'entr'ouvrit, et elle me parut mourir en poussant un profond soupir.... | |
| Jennifer R. Waelti-Walters - Literary Criticism - 2000 - 292 pages
...la mort; ses yeux se fermèrent, tout son corps s'étendit avec violence, ses lèvres se fermèrent d'abord, elles étaient humectées comme d'une mousse...s'entrouvrit, et elle me parut mourir en poussant un grand soupir. Ibid, 630. Je ne sais ce qui se passait en moi; je craignais, je tremblais, le coeur... | |
| Sabrina Vervacke, Thierry Belleguic, Eric van der Schueren - French literature - 2007 - 566 pages
...Quand elle entendait chanter, elle distinguait des voix brunes et des voix blondes» (DPV, IV, 98-99). mousse légère, puis sa bouche s'entrouvrit, et elle me parut mourir en poussant un grand soupir (DPV, XI, 227). Cette « crise » n'est pas sans effet sur Suzanne, chez qui apparaissent... | |
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