Céline, histoire d'une émigrée, rédigée d'apres les notes laissées par mme. Backker |
From inside the book
Results 1-5 of 15
Page 7
... dernier soupir . Au mouvement d'effroi qui s'empara des assistants , Céline , jusqu'alors immobile de surprise , pleura , et dit qu'elle voulait sortir de la chambre . Madame Renaud l'emmena , et réussit , non sans peine , à calmer sa ...
... dernier soupir . Au mouvement d'effroi qui s'empara des assistants , Céline , jusqu'alors immobile de surprise , pleura , et dit qu'elle voulait sortir de la chambre . Madame Renaud l'emmena , et réussit , non sans peine , à calmer sa ...
Page 10
... dernier soupir , et son attache- ment pour ses maîtres allait presque jusqu'à l'idolatrie ; la légèreté de cette enfant le blessa . -Mademoiselle , dit - il vivement , respectez , révérez ce nom sacré ; apprenez que ces Lusigny sont ...
... dernier soupir , et son attache- ment pour ses maîtres allait presque jusqu'à l'idolatrie ; la légèreté de cette enfant le blessa . -Mademoiselle , dit - il vivement , respectez , révérez ce nom sacré ; apprenez que ces Lusigny sont ...
Page 11
... dernier portrait , mademoiselle de Lusigny , sa fille . -Oh ! la charmante personne , qu'elle est jolie ! voyez donc , M. Robert , il semble qu'elle me sourit ; est - elle morte aussi ? -Non , elle est abbesse de Mont - Fleuri . -Je ...
... dernier portrait , mademoiselle de Lusigny , sa fille . -Oh ! la charmante personne , qu'elle est jolie ! voyez donc , M. Robert , il semble qu'elle me sourit ; est - elle morte aussi ? -Non , elle est abbesse de Mont - Fleuri . -Je ...
Page 15
... dernier hommage . Après une courte prière , chacun d'eux jeta une fleur et de l'eau bénite sur le lit mortuaire , et se retira en silence . Céline , restée seule avec le chapelain , s'ap- procha du lit , y déposa toutes les fleurs qu ...
... dernier hommage . Après une courte prière , chacun d'eux jeta une fleur et de l'eau bénite sur le lit mortuaire , et se retira en silence . Céline , restée seule avec le chapelain , s'ap- procha du lit , y déposa toutes les fleurs qu ...
Page 62
... chez le con- cierge , et sort avec ce dernier qu'il entraîne sans dire un mot . Au bout de quelques moments , le con- ierge rentre et conduit la jeune fille dans une chambre décemment meublée où il l'en- ferme sans lui 62.
... chez le con- cierge , et sort avec ce dernier qu'il entraîne sans dire un mot . Au bout de quelques moments , le con- ierge rentre et conduit la jeune fille dans une chambre décemment meublée où il l'en- ferme sans lui 62.
Common terms and phrases
affreux amie avaient Babet Belgrade bientôt billet bonheur bonne tante bonté bras c'était calme cause chagrins charmante château chère enfant ciel cœur comte de Lu comte de Lusigny comtesse conduisit consentement cruel dame Dermance Desgranges Dieu dit-il douce douleur Edward Wright enfin époux éprouva femme de chambre fenêtre fille fleurs frère heures heureuse j'ai j'avais j'étais jeune jours l'abbesse Lady Annie laisser larmes lettre Lillebonne Lord Darlington Lucile m'avait madame de Florville madame Renaud madame Ste malheureuse mariages républicains marquis de Sargères marquise ment mère Merteuil Miss May Monsieur Mont-Fleuri Montelimar mort n'avait nuit paraissait pardon parents parut passe-port passer Passy pavillon personne porte pouvait prier Prince Princesse prison prison de l'Abbaye répondit reprit Céline reste Robert s'écria Céline s'était Saint-Just salon sentiment serait seule signy soins soir sort souf surprise tendre tendresse ternation tion triste trouver union venait vertus voiture voix yeux
Popular passages
Page 20 - But ever and anon of griefs subdued There comes a token like a scorpion's sting, Scarce seen, but with fresh bitterness imbued ; And slight withal may be the things which bring Back on the heart the weight which it would fling Aside for ever : it may be a sound — A tone of music — summer's eve — or spring — A flower — the wind — the ocean — which shall wound, Striking the electric chain wherewith we are darkly bound ; XXIV.
Page 19 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure, Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature.
Page 19 - L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix. Et que ce Dieu daigne instruire lui-même*!
Page 33 - Pour les cœurs corrompus l'amitié n'est point faite. *"O divine amitié ! félicité parfaite, Seul mouvement de l'âme où l'excès soit permis, Change en bien tous les maux où le ciel m'a soumis ; Compagne de mes pas dans toutes mes demeures, Dans toutes les saisons, et dans toutes les heures : "^Sans toi tout homme est seul ; il peut par ton appui Multiplier son être, et vivre dans autrui. Idole d'un cœur juste, et passion du sage, Amitié, que ton...
Page 6 - The tear, down childhood's cheek that flows, Is like the dewdrop on the rose ; When next the summer breeze comes by, And waves the bush, the flower is dry.
Page 127 - Les faux biens de ce monde sont faits pour ceux qui n'en espèrent ou qui n'en cherchent point de plus véritables : les maux de ce monde sont destinés, par la miséricorde de Dieu, aux âmes élues qu'il veut détacher de ce monde si corrompu , pour les préparer à des biens d'une durée et d'un prix immense. Chercher donc son bonheur ici-bas , c'est s'oublier dans son exil, c'est renoncer aux espérances de sa patrie. Aussi saint Cyprien...
Page 58 - Oui, vous qui, de l'Olympe usurpant le tonnerre, Des éternelles lois renversez les autels, Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez ! vous êtes immortels. Et vous, vous, du malheur victimes passagères, Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous ! vous êtes immortels.
Page 66 - Dieux! à ce noble maintien Quel œil ne serait pas trompé comme le mien? Faut-il que sur le front d'un profane adultère Brille de la vertu le sacré caractère? Et ne devrait-on pas à des signes certains Reconnaître le cœur des perfides humains?
Page 129 - Tout plaît à ton âme ingénue : Sans regrets, comme sans désirs, Chaque objet qui s'offre à ta vue T'apporte de nouveaux plaisirs. Si quelquefois ton cœur soupire, Tu n'as point de longues douleurs, Et l'on voit ta bouche sourire A l'instant où coulent tes pleurs.