Céline, histoire d'une émigrée, rédigée d'apres les notes laissées par mme. Backker |
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... doute j'ai mérité mon sort par ma coupable indif- férence . -Non , ma fille , vous avez été confiée à mes soins ; votre mère sait que vous êtes heureuse ; que pouvez - vous désirer ? -Sa tendresse , dit vivement Céline ; et pour en être ...
... doute j'ai mérité mon sort par ma coupable indif- férence . -Non , ma fille , vous avez été confiée à mes soins ; votre mère sait que vous êtes heureuse ; que pouvez - vous désirer ? -Sa tendresse , dit vivement Céline ; et pour en être ...
Page 44
... pareille conjoncture , il se contenta de lui témoigner le chagrin qu'il éprouvait d'être forcé de s'éloigner de sa sœur . -Je ne doute pas , continua - t - il , que vos soins et votre tendresse n'emploient tous les moyens possibles pour 44.
... pareille conjoncture , il se contenta de lui témoigner le chagrin qu'il éprouvait d'être forcé de s'éloigner de sa sœur . -Je ne doute pas , continua - t - il , que vos soins et votre tendresse n'emploient tous les moyens possibles pour 44.
Page 47
... doute , reprit le comte , frappé de la justesse de cette observation ; rendez - vous promptement à votre poste , je ne ferai qu'écrire deux mots d'adieu à ma sœur , et je renverrai Céline avec Babet dans un instant . Robert s'éloigna en ...
... doute , reprit le comte , frappé de la justesse de cette observation ; rendez - vous promptement à votre poste , je ne ferai qu'écrire deux mots d'adieu à ma sœur , et je renverrai Céline avec Babet dans un instant . Robert s'éloigna en ...
Page 90
... doute il engageait madame Ste . Lucile à se rendre à Rosendal . -Que voulez - vous dire de Rosendal , et quelle est cette jeune parente ? -Pardonnez ma présomption , répliqua Céline en se jetant dans les bras de madame St. Lucile ; je ...
... doute il engageait madame Ste . Lucile à se rendre à Rosendal . -Que voulez - vous dire de Rosendal , et quelle est cette jeune parente ? -Pardonnez ma présomption , répliqua Céline en se jetant dans les bras de madame St. Lucile ; je ...
Page 92
... quelque raison de douter de son amitié ? -Je doute au moins de ses principes ; et cela me suffit . D'ailleurs , ne voyez - vous pas qu'on me prévient de me défier de tout ce qui m'entoure . -Si , comme je le crois , ce billet est 92.
... quelque raison de douter de son amitié ? -Je doute au moins de ses principes ; et cela me suffit . D'ailleurs , ne voyez - vous pas qu'on me prévient de me défier de tout ce qui m'entoure . -Si , comme je le crois , ce billet est 92.
Common terms and phrases
amie arriva assez avaient avant bientôt bonheur bonne bonté bras c'était cause Céline chambre charmante chercher chère ciel cœur compagne comte comtesse conduisit consentement cruel dame demanda Dermance dernier désir devant Dieu dire dit-elle donner douce douleur doute élève enfant enfin éprouva faisait femme ferait fille fleurs force frère garde heures heureuse homme j'ai j'avais jetant jeune jours juge l'abbesse l'avait Lady Annie laisser larmes lettre leva Lucile Lusigny m'avait madame de Florville madame Ste main maison malheureuse marquis matin ment mère mois monde mort mots moyen n'avait n'était nouvelles nuit paraissait parents parler parut passer pavillon peine pendant penser père personne place porte pouvait pouvoir premier présenter prier Prince prison quitter regards rendre répondit reprit reste rien Robert s'était Saint-Just santé Sargères semblait sentiment serait seule soins soir sort tante tendre triste trouver venait visite vive voiture voix voyage voyait yeux
Popular passages
Page 22 - But ever and anon of griefs subdued There comes a token like a scorpion's sting, Scarce seen, but with fresh bitterness imbued ; And slight withal may be the things which bring Back on the heart the weight which it would fling Aside for ever : it may be a sound — A tone of music — summer's eve — or spring — A flower — the wind — the ocean — which shall wound, Striking the electric chain wherewith we are darkly bound ; XXIV.
Page 21 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure, Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature.
Page 21 - L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix. Et que ce Dieu daigne instruire lui-même*!
Page 35 - Pour les cœurs corrompus l'amitié n'est point faite. *"O divine amitié ! félicité parfaite, Seul mouvement de l'âme où l'excès soit permis, Change en bien tous les maux où le ciel m'a soumis ; Compagne de mes pas dans toutes mes demeures, Dans toutes les saisons, et dans toutes les heures : "^Sans toi tout homme est seul ; il peut par ton appui Multiplier son être, et vivre dans autrui. Idole d'un cœur juste, et passion du sage, Amitié, que ton...
Page 8 - The tear, down childhood's cheek that flows, Is like the dewdrop on the rose ; When next the summer breeze comes by, And waves the bush, the flower is dry.
Page 1 - O'er a' the ills o' life victorious! But pleasures are like poppies spread, You seize the flow'r, its bloom is shed; Or like the snow falls in the river, A moment white — then melts for ever; Or like the borealis race That flit ere you can point their place; Or like the rainbow's lovely form Evanishing amid the storm. Nae man can tether time or tide; The hour approaches Tam maun ride; That hour, o...
Page 129 - Les faux biens de ce monde sont faits pour ceux qui n'en espèrent ou qui n'en cherchent point de plus véritables : les maux de ce monde sont destinés, par la miséricorde de Dieu, aux âmes élues qu'il veut détacher de ce monde si corrompu , pour les préparer à des biens d'une durée et d'un prix immense. Chercher donc son bonheur ici-bas , c'est s'oublier dans son exil, c'est renoncer aux espérances de sa patrie. Aussi saint Cyprien...
Page 60 - Oui, vous qui, de l'Olympe usurpant le tonnerre, Des éternelles lois renversez les autels, Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez ! vous êtes immortels. Et vous, vous, du malheur victimes passagères, Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous ! vous êtes immortels.
Page 68 - Dieux! à ce noble maintien Quel œil ne serait pas trompé comme le mien? Faut-il que sur le front d'un profane adultère Brille de la vertu le sacré caractère? Et ne devrait-on pas à des signes certains Reconnaître le cœur des perfides humains?
Page 131 - Tout plaît à ton âme ingénue : Sans regrets, comme sans désirs, Chaque objet qui s'offre à ta vue T'apporte de nouveaux plaisirs. Si quelquefois ton cœur soupire, Tu n'as point de longues douleurs, Et l'on voit ta bouche sourire A l'instant où coulent tes pleurs.