Céline, histoire d'une émigrée, rédigée d'apres les notes laissées par mme. Backker |
From inside the book
Results 1-5 of 73
Page 6
... madame la comtesse a encore toute sa connaissance ; mais on assure qu'elle ne passera pas la nuit . Elle ne cesse de demander si cette chère petite demoiselle est arrivée ; il faut que je la lui conduise tout de suite ; venez vîte , les ...
... madame la comtesse a encore toute sa connaissance ; mais on assure qu'elle ne passera pas la nuit . Elle ne cesse de demander si cette chère petite demoiselle est arrivée ; il faut que je la lui conduise tout de suite ; venez vîte , les ...
Page 18
... MADAME STE . LUCILE était jeune et belle ; sa taille , au - dessus de la moyenne , était élégante ; la dignité de son port , la noblesse de sa démarche un peu lente , développaient une infinité de grâces . On était frappé de la ...
... MADAME STE . LUCILE était jeune et belle ; sa taille , au - dessus de la moyenne , était élégante ; la dignité de son port , la noblesse de sa démarche un peu lente , développaient une infinité de grâces . On était frappé de la ...
Page 19
... Céline éprouva en voyant partir sa mère , aussi bien que les caresses des religieuses qui entre prirent de la lui faire oublier , ou au de lui faire aimer le couvent . Elle s'attacha bientôt à madame Ste . Lucile qui , 19.
... Céline éprouva en voyant partir sa mère , aussi bien que les caresses des religieuses qui entre prirent de la lui faire oublier , ou au de lui faire aimer le couvent . Elle s'attacha bientôt à madame Ste . Lucile qui , 19.
Page 20
... madame Renaud , l'abbesse paraissait souffrir ; et , ne voulant point l'affliger , l'aimable enfant cessa de parler de sa mère . Toujours dans l'apparte- ment de madame Ste . Lucile , se promenant , travaillant , ou causant avec elle ...
... madame Renaud , l'abbesse paraissait souffrir ; et , ne voulant point l'affliger , l'aimable enfant cessa de parler de sa mère . Toujours dans l'apparte- ment de madame Ste . Lucile , se promenant , travaillant , ou causant avec elle ...
Page 23
... Madame Ste . Lucile parut émue , se couvrit les yeux de son mouchoir , et au bout de quelques moments répondit : -Votre mère existe , ma fille , et . . . . . un jour peut - être . . . . . -Elle s'arrêta , suffoquée par ses larmes ; ce ...
... Madame Ste . Lucile parut émue , se couvrit les yeux de son mouchoir , et au bout de quelques moments répondit : -Votre mère existe , ma fille , et . . . . . un jour peut - être . . . . . -Elle s'arrêta , suffoquée par ses larmes ; ce ...
Common terms and phrases
affreux amie avaient Babet Belgrade bientôt billet bonheur bonne tante bonté bras c'était calme cause chagrins charmante château chère enfant ciel cœur comte de Lu comte de Lusigny comtesse conduisit consentement cruel dame Dermance Desgranges Dieu dit-il douce douleur Edward Wright enfin époux éprouva femme de chambre fenêtre fille fleurs frère heures heureuse j'ai j'avais j'étais jeune jours l'abbesse Lady Annie laisser larmes lettre Lillebonne Lord Darlington Lucile m'avait madame de Florville madame Renaud madame Ste malheureuse mariages républicains marquis de Sargères marquise ment mère Merteuil Miss May Monsieur Mont-Fleuri Montelimar mort n'avait nuit paraissait pardon parents parut passe-port passer Passy pavillon personne porte pouvait prier Prince Princesse prison prison de l'Abbaye répondit reprit Céline reste Robert s'écria Céline s'était Saint-Just salon sentiment serait seule signy soins soir sort souf surprise tendre tendresse ternation tion triste trouver union venait vertus voiture voix yeux
Popular passages
Page 20 - But ever and anon of griefs subdued There comes a token like a scorpion's sting, Scarce seen, but with fresh bitterness imbued ; And slight withal may be the things which bring Back on the heart the weight which it would fling Aside for ever : it may be a sound — A tone of music — summer's eve — or spring — A flower — the wind — the ocean — which shall wound, Striking the electric chain wherewith we are darkly bound ; XXIV.
Page 19 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure, Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature.
Page 19 - L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix. Et que ce Dieu daigne instruire lui-même*!
Page 33 - Pour les cœurs corrompus l'amitié n'est point faite. *"O divine amitié ! félicité parfaite, Seul mouvement de l'âme où l'excès soit permis, Change en bien tous les maux où le ciel m'a soumis ; Compagne de mes pas dans toutes mes demeures, Dans toutes les saisons, et dans toutes les heures : "^Sans toi tout homme est seul ; il peut par ton appui Multiplier son être, et vivre dans autrui. Idole d'un cœur juste, et passion du sage, Amitié, que ton...
Page 6 - The tear, down childhood's cheek that flows, Is like the dewdrop on the rose ; When next the summer breeze comes by, And waves the bush, the flower is dry.
Page 127 - Les faux biens de ce monde sont faits pour ceux qui n'en espèrent ou qui n'en cherchent point de plus véritables : les maux de ce monde sont destinés, par la miséricorde de Dieu, aux âmes élues qu'il veut détacher de ce monde si corrompu , pour les préparer à des biens d'une durée et d'un prix immense. Chercher donc son bonheur ici-bas , c'est s'oublier dans son exil, c'est renoncer aux espérances de sa patrie. Aussi saint Cyprien...
Page 58 - Oui, vous qui, de l'Olympe usurpant le tonnerre, Des éternelles lois renversez les autels, Lâches oppresseurs de la terre, Tremblez ! vous êtes immortels. Et vous, vous, du malheur victimes passagères, Sur qui veillent d'un Dieu les regards paternels, Voyageurs d'un moment aux terres étrangères, Consolez-vous ! vous êtes immortels.
Page 66 - Dieux! à ce noble maintien Quel œil ne serait pas trompé comme le mien? Faut-il que sur le front d'un profane adultère Brille de la vertu le sacré caractère? Et ne devrait-on pas à des signes certains Reconnaître le cœur des perfides humains?
Page 129 - Tout plaît à ton âme ingénue : Sans regrets, comme sans désirs, Chaque objet qui s'offre à ta vue T'apporte de nouveaux plaisirs. Si quelquefois ton cœur soupire, Tu n'as point de longues douleurs, Et l'on voit ta bouche sourire A l'instant où coulent tes pleurs.