Étude sur la vie et les poésies de Charles d'OrléansImp. de J.-J. Salettes, 1861 - 242 pages |
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... Blois au duc d'Orléans . C'est dans la capitale de ce comté , dans l'agréable séjour du château de Blois , que la fille des Visconti prodigua à son premier né le trésor des soins maternels et s'appliqua à former son esprit et son cœur ...
... Blois au duc d'Orléans . C'est dans la capitale de ce comté , dans l'agréable séjour du château de Blois , que la fille des Visconti prodigua à son premier né le trésor des soins maternels et s'appliqua à former son esprit et son cœur ...
Page 14
... le pavé , dans la boue . Quand la nou- velle en vint à Blois , « tout le château retentit de cris et ( 1 ) Malavisées . ( 2 ) Sans l'avoir mérité . + de clameurs . Sa veuve affligée s'en prit à 14 VIE DE CHARLES D'ORLÉANS.
... le pavé , dans la boue . Quand la nou- velle en vint à Blois , « tout le château retentit de cris et ( 1 ) Malavisées . ( 2 ) Sans l'avoir mérité . + de clameurs . Sa veuve affligée s'en prit à 14 VIE DE CHARLES D'ORLÉANS.
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... Blois ( ! ) . C'était une réconciliation dérisoire , un honteux déni de justice ; c'était une comédie jouée devant le peuple afin qu'il pût calmer ses inquiétudes et se faire illusion sur l'a- venir . Mais ni le duc de Bourgogne , ni le ...
... Blois ( ! ) . C'était une réconciliation dérisoire , un honteux déni de justice ; c'était une comédie jouée devant le peuple afin qu'il pût calmer ses inquiétudes et se faire illusion sur l'a- venir . Mais ni le duc de Bourgogne , ni le ...
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... Blois ( ! ) . C'était une réconciliation dérisoire , un honteux déni de justice ; c'était une comédie jouée devant le peuple afin qu'il pût calmer ses inquiétudes et se faire illusion sur l'a- venir . Mais ni le duc de Bourgogne , ni le ...
... Blois ( ! ) . C'était une réconciliation dérisoire , un honteux déni de justice ; c'était une comédie jouée devant le peuple afin qu'il pût calmer ses inquiétudes et se faire illusion sur l'a- venir . Mais ni le duc de Bourgogne , ni le ...
Page 20
... Blois , en couche d'une fille . Le duc en fut fort sensiblement touché . Il pleura sa mort , s'occupa à des œuvres de piété pour le salut de la défunte et disposa de tout ce qu'elle avait laissé de beaux habits en faveur de l'abbaye de ...
... Blois , en couche d'une fille . Le duc en fut fort sensiblement touché . Il pleura sa mort , s'occupa à des œuvres de piété pour le salut de la défunte et disposa de tout ce qu'elle avait laissé de beaux habits en faveur de l'abbaye de ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 211 - Je hais ces vains auteurs dont la muse forcée M'entretient de ses feux, toujours froide et glacée ; Qui s'affligent par art, et, fous de sens rassis, S'érigent pour rimer en amoureux transis. Leurs transports les plus doux ne sont que phrases vaines...
Page 235 - J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Page 65 - Il soupire en repos l'ennui de sa vieillesse Dans ce même foyer où sa tendre jeunesse A vu dans le berceau ses bras emmaillotés...
Page 140 - Certes ouyl, tous en ont congnoissance. Et encore le roy de leur pays Est maintenant en doubteuse balance ; D'en parler mal chascun Anglois s'avance ; Assez monstrent, par leur mauvais langaige, Que voulentiers lui feroient oultraige. Qui sera Roy...
Page 108 - Las! Mort qui t'a fait si hardie, De prendre la noble Princesse Qui estoit mon confort, ma vie, Mon bien, mon plaisir, ma richesse! Puis que tu as prins ma maistresse, Prens moy aussi son serviteur, Car j'ayme mieulx prochainement Mourir que languir en tourment En paine, soussi et doleur.
Page 108 - MORT, j'appelle de ta rigueur, Qui m'as ma maistresse ravie, Et n'es pas encore assouvie Se tu ne me tiens en langueur : One puis n'eus force ne vigueur; Mais que te nuysoit elle en vie, Mort?
Page 109 - Dieu qu'il te maudie, Faulse Mort, plaine de rudesse! Se prise l'eusses en vieillesse, Ce ne fuSt pas si grant rigueur; Mais prise l'as hastivement, Et m'as laissié piteusement En paine, soussi et doleur. Las! je suy seul, sans compaignie!
Page 134 - Et puis aprés devins fruit en jeunesse ; Lors m'abaty de l'arbre de Plaisance, Vert et non meur, Folie, ma maistresse. Et pour cela, Raison qui tout redresse A son plaisir, sans tort ou mesprison, M'aa bon droit, par sa tresgrant sagesse, Mis pour meurir ou feurre de prison.
Page 149 - Je, qui suis Fortune nommée, Demande la raison pourquoy On me donne la renommée, Qu'on ne se peut fier en moy. Et n'ay ne fermeté ne foy ; Car, quant aucuns en mes mains prens, D'en bas je les monte en haultesse, Et d'en hault en bas les descens, Monstrant que suis Dame et maistresse.