Étude sur la vie et les poésies de Charles d'OrléansImp. de J.-J. Salettes, 1861 - 242 pages |
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... Voilà le doux air que respira Charles , voilà les sites enchanteurs , les paysages char- mants qui réjouirent les regards de son enfance . C'est ( 1 ) Guillaume Blaeuw , Théâtre du monde . au contact de cette population débonnaire et ...
... Voilà le doux air que respira Charles , voilà les sites enchanteurs , les paysages char- mants qui réjouirent les regards de son enfance . C'est ( 1 ) Guillaume Blaeuw , Théâtre du monde . au contact de cette population débonnaire et ...
Page 17
... Voilà Charles d'Orléans orphelin : le voilà , à l'âge de seize ans , devenu le chef de sa maison , et chargé de venger l'outrage fait à sa famille . La tâche doit paraître bien lourde au jeune duc , qui n'avait jusque - là vécu que sous ...
... Voilà Charles d'Orléans orphelin : le voilà , à l'âge de seize ans , devenu le chef de sa maison , et chargé de venger l'outrage fait à sa famille . La tâche doit paraître bien lourde au jeune duc , qui n'avait jusque - là vécu que sous ...
Page 20
... voilà qu'un nouveau sujet de douleur vient s'ajouter à ceux qui avaient déjà brisé le cœur du jeune prince vers la mi - Septembre , 1409 , Madame Isabelle meurt à Blois , en couche d'une fille . Le duc en fut fort sensiblement touché ...
... voilà qu'un nouveau sujet de douleur vient s'ajouter à ceux qui avaient déjà brisé le cœur du jeune prince vers la mi - Septembre , 1409 , Madame Isabelle meurt à Blois , en couche d'une fille . Le duc en fut fort sensiblement touché ...
Page 38
... voilà donc la véritable dame de ses pensées ; c'est à elle qu'il s'adresse quand , cédant à l'excès de sa douleur , il exhale ces plaintes amères : Me fauldrez - vous à mon besoing , Mon reconfort et ma fiance ; M'avez - vous mis en ...
... voilà donc la véritable dame de ses pensées ; c'est à elle qu'il s'adresse quand , cédant à l'excès de sa douleur , il exhale ces plaintes amères : Me fauldrez - vous à mon besoing , Mon reconfort et ma fiance ; M'avez - vous mis en ...
Page 49
... . 188 . ( 2 ) Compte de dépenses de la Maison d'Orléans . Original en parchemin conservé à la Bibliothèque - Impériale . ( 3 ) Monstrelet , vol . 2 , f . 173 . Voilà le prisonnier libre en droit , mais de fait 4 PENDANT SA CAPTIVITÉ . 49.
... . 188 . ( 2 ) Compte de dépenses de la Maison d'Orléans . Original en parchemin conservé à la Bibliothèque - Impériale . ( 3 ) Monstrelet , vol . 2 , f . 173 . Voilà le prisonnier libre en droit , mais de fait 4 PENDANT SA CAPTIVITÉ . 49.
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Common terms and phrases
Alain Chartier allégorique allusion amour Anglais assez ballade beau beauté belle Bonne d'Armagnac c'était Campaux captivité Champollion chanson chante Charles d'Or Charles d'Orléans Charles VII chascun château de Blois chière chose Clément Marot cœur compaignie complainte comte cueur dame Dangier départie d'Amour desplaisance dieu d'Amour dit-il douleur duc d'Orléans duc de Bourgogne duchesse enfin ennemis Eustache Deschamps fault Fortune François Ier François Villon goût gracieux grant j'ay jamais Jean jeune jeunesse joie jour joyeux l'allégorie laisse langage langue léans Louis XI maîtresse Marie de Clèves Marot mélancolie ment mieux Monstrelet morale mort muse n'en Nonchaloir paix parler passer patriotisme pensée pièces plaintes plaisance plaisir plaisirs poésies de Charles poète poétique pourtant prince prison prisonnier qu'un quoy raison rien rimer rondel s'en s'il scet seigneurs semble sentiment sera seul soupire Soussy souvent St-Valentin style tion tristesse trouve versification vieillard vieillesse voilà vueil xve siècle yeulx
Popular passages
Page 211 - Je hais ces vains auteurs dont la muse forcée M'entretient de ses feux, toujours froide et glacée ; Qui s'affligent par art, et, fous de sens rassis, S'érigent pour rimer en amoureux transis. Leurs transports les plus doux ne sont que phrases vaines...
Page 235 - J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Page 65 - Il soupire en repos l'ennui de sa vieillesse Dans ce même foyer où sa tendre jeunesse A vu dans le berceau ses bras emmaillotés...
Page 140 - Certes ouyl, tous en ont congnoissance. Et encore le roy de leur pays Est maintenant en doubteuse balance ; D'en parler mal chascun Anglois s'avance ; Assez monstrent, par leur mauvais langaige, Que voulentiers lui feroient oultraige. Qui sera Roy...
Page 108 - Las! Mort qui t'a fait si hardie, De prendre la noble Princesse Qui estoit mon confort, ma vie, Mon bien, mon plaisir, ma richesse! Puis que tu as prins ma maistresse, Prens moy aussi son serviteur, Car j'ayme mieulx prochainement Mourir que languir en tourment En paine, soussi et doleur.
Page 108 - MORT, j'appelle de ta rigueur, Qui m'as ma maistresse ravie, Et n'es pas encore assouvie Se tu ne me tiens en langueur : One puis n'eus force ne vigueur; Mais que te nuysoit elle en vie, Mort?
Page 109 - Dieu qu'il te maudie, Faulse Mort, plaine de rudesse! Se prise l'eusses en vieillesse, Ce ne fuSt pas si grant rigueur; Mais prise l'as hastivement, Et m'as laissié piteusement En paine, soussi et doleur. Las! je suy seul, sans compaignie!
Page 134 - Et puis aprés devins fruit en jeunesse ; Lors m'abaty de l'arbre de Plaisance, Vert et non meur, Folie, ma maistresse. Et pour cela, Raison qui tout redresse A son plaisir, sans tort ou mesprison, M'aa bon droit, par sa tresgrant sagesse, Mis pour meurir ou feurre de prison.
Page 149 - Je, qui suis Fortune nommée, Demande la raison pourquoy On me donne la renommée, Qu'on ne se peut fier en moy. Et n'ay ne fermeté ne foy ; Car, quant aucuns en mes mains prens, D'en bas je les monte en haultesse, Et d'en hault en bas les descens, Monstrant que suis Dame et maistresse.